Un lieu maudit

[ Hors RôlePlay ]
Je poste ici un truc concernant le passé de mon personnage, mais si personne ne répond avant que je m'en aille j'édite disans qu'il s'en va. En gros, je poste mais si quelqu'un veut venir aucun problème. ^^

[ Dans le RôlePlay ]
Cela faisait longtemps que Yoshin n'était pas revenu ici. Il avait peur de revoir cet endroit, et même de croiser à nouveau un membre d'Akatsuki, comme celui qui avait éliminé tout son clan...
Il marchait alors, son esprit survolant la forêt, libre de toute pensée négative, dans une forêt qui anexait à ce lieu gardant dans ses bras gigantesques les esprits de tous les anciens amis et proches de Yoshin.
Il était vêtu de vêtements simples: Veste, pantalon, etc. Personne ne pouvait se douter qu'il s'agissaitd'un membre de l'Hebi.
Arrivant enfin à la lisière, la lumière du soleil l'aveuglant, il avait gardé les yeux fixé au sol sombre si longtemps que ses yeux s'étaient comme liés temporairement aux ténèbres.
La vue lui revenant, il contempla ce vaste camp détruit. Petites tentes brûlés, squelettes de corps calcinés il y a de cela plusieurs années, et d'autres horreurs que les paupières de Yoshin cachaient à sa vue. Finalement, il ourvrit de nouveau ses yeux, pour laisser paraître une petite lueur de tristesse dans ce fond ténèbreux. Il avait quitté l'Hebi temporairement pour se spécialiser en médecine, avec l'espoir vain qu'un des corps d'un de ses amis qu'il avait laissé ici serait encore en état d'être régénéré. Il entra dans la tente où il avait déposé, dans des sac, les corps de ses amis, avec une vitesse fortement aténuée par la peur et la tristesse. A peine ouvrit-il la "porte" de la tente, qu'une odeur désagréable très forte l'empêcha de faire un pas de plus: Les sacs étaient troués, et leur " contenu" semblait avoir... "diminué". Yoshin resta planté un instant ici, sans réfléchir. Son esprit était vide. Il savait que revenir un jour ici lui ferait un grand mal, mais pas à ce point. Il avait l'impression que son âme était consumée par des flammes spirituelles, lequelles s'apprêtaient à s'attaquer à son corps. Il fut réveillé de ce cauchemar par un souvenir de son maître du santuaire, où il avait tout appris en médecine. Le vieux prêtre était un homme bien, à qui Yoshin s'était confié, libérant une lourde charge de ce fardeau. Ce dut être le seul jour où il versa des larmes d'un bleu sombre, après l'incident lui-même.
" La vengeance n'amènera dans ton âme pure que la tristesse. Tu vas tuer ces hommes, et après? Qu'en sera t-il de ta vie? Tu n'auras fais qu'anéantir une poignée d'hommes de la même façon qu'ils ont tué tes proches. Et au bout du compte, tu ne seras parvenu qu'à leur ressembler. "
Il voulut croire ce vieux prêtre, mais cette vision qui hantait sa vue jusqu'à sa profonde conscience le contre-disait. Finalement, il détourna son regard pour sortir de la tente, et s'assied contre un petit rocher, adossé, la tête fixant les nuages qui prenait parfois la forme des visages de ses anciens compagnons...
Soudain, troublant ce doux calme bercé par une brise soulageante, un petit animal ailé tomba devant Yoshin, le réveillant ainsi de son éternelle nostalgie. Il le fixa en silence, se rendant compte trop tard qu'il venait de mourrir en tombant.
`Si jeune, si fragile... Je ne peux pas laisser mourrir un si petit être...`
Il se leva, pour s'agenouiller au dessus du petit oisillion défunt. Il posa ses deux mains sur son petit corps meurtrit, puis envoya un flux de chakra d'un bleu lumineux. Etonnés, un couple de renards sortirent de leur tanière pour observer le "miracle". C'est alors que le rayonnement bleu prit fin, puis Yoshin prit le petit oiseau dans sa main droite, et s'assied à nouveau, adossé à son rocher. Puis, comme par "magie", le petit oisillon revint à la vie. Il essayait de bouger, mais ne put que se contenter de tourner sa tête minuscule vers les yeux de Yoshin qui ne quittait pas sa silhouette innocente. Son sourrire accompagna sa voix de la même douceur que son regard:
- Salut, petit habitant des vents...
Il aurait pu paraître stupide, là, seul au milieu de nulle part, à parler à un petit animal qui semblait ne pas comprendre ce qu'il lui était arrivé, autant qu'il ne comprenait pas qui était Yoshin ni ce qu'il lui disait. En sauvant cet oiseau, Yoshin avait l'impression d'avoir fait revivre ses amis. Cela lui semblait lui-même un peu prétentieux, en quelques sortes, comme idée, mais il se sentait rassuré, dans son âme. Il garda le petit oisillion dans sa main un instant, puis finalement regarda au dessus de lui. Dans un arbre, dans un nid, ce situait un petit couple d'oiseaux lui ressemblant énormement qui fixait le loueur de sa main. Puis, une petite tête dépassa de ce nid. Yoshin détourna du regard ces petits animaux pour regarder son petit protégé. Celui-ci poussa un faible cri, comme s'il souhatait s'exprimait, mais que l'âge avait fait taire sa gorge.
- J'ai bien compris le message, je vais te ramener à ta famille ne t'inquète pas.
Yoshin se leva, puis sauta d'un coup, il se retrouva prêt du nid, sa main gauche tenant une branche et la main droite déposant le petit oisillon dans sa maison de brindilles, sans qu'aucun d'ente eux n'aient peur. Yoshin les regarda, ensemble, le fixant.
`Une famille... C'est exactement ce que je n'ai plus...`
Il lâcha la branche, songeur, puis retomba au sol en causant à son atterissage un bruit sourd de résonnance dans le sol, avant de s'allongea contre son rocher à nouveau, les mains derrière la tête. Il songeait à retourner à l'Hebi, mais un sentiment étrange le retenait ici.

Madara marcha dans le lieu ou avait eu lieu le premier massacre dont il était l'auteur. Cette Forêt lui rappelait a quel point il avait été cruel en vers les gens qui habitai au paravent tout prés d’ici. Il avait un peu honte de lui qui ne le serait pas a sa place mais se n’était pas entièrement de sa faute il avait été pousser par le démon qui était en lui ( Son père ). Il se souvint que son père lui était moins clément et qu’il épargnait juste pour les tuer doucement. Madara avait peur de devenir comme son père cet a dire se marier pour la force et d’entrainer son fils pour le manipuler comme une arme. Il était navrer de ne pas avoir connu l’amour paternel. Mais se qui lui avait le plus de mal dans le passer c’est d’avoir trahi la confiance de son meilleur ami et qui avait démoli son village en rendant kyubi libre. Le vent lui rappelait les jours ou il était jeune et innocent quand il se baladait tranquillement dans les bois sans se soucier de son avenir. Madara vit un jeune homme alonger par terre en train de revasser Cet enfant madara le reconnaissais. Il se rappela de l anéantissement du clan qui peuplait ses forêts ultérieurement. Il savait que le jeune homme aller avoir un grande réticence a le voir. Mais Madara se dit que cela pourait etre un seconde chance dans l avenir. En tout cas il savait que cette homme n allait jamais le pardonner de ses erreurs passé. Mais il dit malgré sa souffrance interieur

Je me présente je m appelle madara uchiwa et je sais que toi tu fais partit du clan que j ai décimé il y a longtemps et tu tout les raison de m’en vouloir mais je te demande comme même pardon. Et je sais que se serait plus facile de me condamner toute suite a cause de se que j ai fait mais je sais que tu assez intelligent pour vouloir que je te donne la raison de mon acte autrefois.

Madara s’assit en tailleur en attendant la réponse de l homme

Yoshin fixait le sol depuis un instant, sentant que la terre lui parlait. Elle lui disait que quelqu'un marchait sur sa peau sensible, quelqu'un dont l'âme noire avait déjà ravagé ces lieux. Yoshin n'avait pas bien compris ce dernier message auquel il tenait: L'identité de cet immonde personnage.
Il entendit soudain une voix, une voix grave, une voix qui venait d'un être âgé...
- Je me présente
je m'appelle madara uchiwa et je sais que toi tu fais partit du clan
que j ai décimé il y a longtemps et tu tout les raison de m’en vouloir
mais je te demande comme même pardon. Et je sais que se serait plus
facile de me condamner toute suite a cause de se que j ai fait mais je
sais que tu assez intelligent pour vouloir que je te donne la raison de
mon acte autrefois.
Yoshin voulut tourner la tête avant de réagir, mais malgrès lui il fut l'inverse de ce que son esprit souhaitait. Son corps denait d'agir contre sa volonté de rester dans son calme habituel. Sa marque que Sasuke lui avait transmit s'était activée malgrès lui, envahissant son corps de ses tâches noires, sa main s'était déjà abattu sur le col de l'homme, le soulevant de sa position détendue.
Yoshin fixa alors les yeux de cet homme, ces yeux semblait parler, malgrès leur incapacité auditive, ils semblait dire à Yoshin que cet homme ne ment pas. Le poing droit serré de Yoshin se dessera, et relâcha l'homme. Il le regarda avec amertume, se souvenant des conseils de son maître. Il baissa la tête pour regarder sa main, ouverte, tâchée de nombreux colorations noires qui se retiraient, puis regarda à nouveau son interlocuteur, en répondant d'un calme forcé par sa bonne conscience:
- Je... Je t'écoute...
Sa voix était hachée par la haine, il avait l'impression que ses phrases étaient cachées par ce sentiment aveugle qui contaminait les autres sens de sa fatale cécité. Yoshin le regardait toujours avec ce sentiment de haine, tentant de se maitriser.
Cet homme portait le même manteau, caractéristique d'Akatsuki, la même voix sombre sortait de sa gorge...

Madara comprit que le moment était venu de lui expliquer se qui c’était vraiment passer se jour la ou le clan de Yoshin c’est vu détruire. Alors il se releva de Façon a ne pas avoir l’air de se moquer de se qu’il allait dire. Madara Savait que se qu’il allait dire il pourrait le regretter amèrement car le contenu de ses information pourrait le nuire a son image de cruel tueur même si en réalité il a crée l Akatsuki pour non pas dominer le monde mais juste pour rassembler les villages pour qu’il n y est plus de guerre car qu’une seul nation existera. Madara mit du temps pour trouver les mots les plus approprier pour cette discutions car avant il N’avait jamais du s’expliquer sur ses gestes parfois maladroit. Mais bon Madara dit

Bon se que je vais te dire est vrai mais tu n as pas besoin de me croire. Tu sais que je suis le fils du roi des tengus, et tu sais que mon père voulais tous vous tuer et que moi je l’ai tué et bas je vais te raconter comment sait dérouler la fin du combat. Grace a l’aide de Kyubi je dois l’admettre mon père c’est fait rouer de coups et de technique J avait réussi à L’immobiliser grâce a un de mes genjutsu. Je m apprêtait a lui donner le coup de grâce il utilisa une technique de tengu qui permet de donner une folie meurtrière a l adversaire cette folie est permanente je ne peux pas bien la Controller. Alors vu que j’ai été expulsé de konoha part Shodaïme j’ai du airé dans cette foret pendant quelques jours Je fis la connaissance de se clan dont le chef m’accueilli très gentiment mais pendant la nuit cette folie reprit et je décimai tout ton clan. Je sais que sa peu paraitre un peu Abusé mais je ne peux pas me contrôler mais ne t’inkiete pas j’ai trouvé quelqu’un du nom Kabuto qui ma soigner en échange d’une place dans l’akatsuki il ma fait des pilules qui me donne le pouvoir de me contrôler. Je comprendrais que tu m’en veuille mais je voulais jute te dire que si j’avais pu me contrôler je n’aurai jamais tué des membres de ton clan.

Madara attendit la réponse de Yoshin

Yoshin avait peine à croire ce qu'il venait d'écouter. Sa mauvaise conscience lui disait de tuer cet homme sur le champ, mais la bonne lui disait de le laisser pour cette fois, pour la simple et bonne raison qu'il avait dit la vérité. Il resta là un instant, perdu dans ses pensées, fixant un simple cailloux, et finalement regarda la visage de l'homme en face. Sa mémoire le photographia, pour qu'une photo reste gravée dans une de ses cellules.
Yoshin, qui fixait son interlocuteur, lui dit de sa voix habituellement calme:
- Vous êtes d'Akatsuki, je devrais vous tuer, même si vos n'aviez pas fais cela. Enfin, je suppose qu'il est inutile de dévoiler mon actuelle identité.
Yoshin s'arrêta un instant, ferma les yeux et mit ses mains dans ses poches de veste pour continuer:
- Nous sommes ammené à nous revoir.
Après cette phrase, il commenca à marcher vers la lisière en s'adressa à cet homme mystérieux, sans tourner sa tête pour regarder ses yeux qu'il avait peine à supporter. Il ne fallait pas qu'il se batte ici.
- Aussi, quittez ces lieux. Vous faites honte aux esprits de vos victimes...
Aussitôt qu'il avait prononcé ses paroles, il disparut instantanement, laissant de lui une unique odeur qui s'estompa aussitôt dans la brise rafraichissante qui soufflait dans ces lieux.